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«La santé dans tous les instituts» - activité interinstituts de l'UQAM Recherche et création
15 Avril 2024
02:42:29

À l’UQAM, les six instituts sont des pôles d’attraction pour des personnes investies dans leur champ d’études spécifique. Les thématiques propres aux instituts sont distinctes, mais aussi reliées.

Depuis quelques années, les instituts organisent conjointement des activités à l’intersection de leur domaine d’expertise. Cette année, la thématique retenue pour l’activité était « La santé dans tous les instituts ». Avec le projet de création d’une faculté qui serait dévolue aux sciences de la santé, il a semblé opportun d’illustrer la richesse des contributions en santé sous divers angles. Les panélistes provenant de chacun des instituts ont parlé de leur contribution à la connaissance en santé et partagé leurs réflexions sur les éclairages que les instituts peuvent apporter au développement de la santé à l’UQAM.

L'activité a eu lieu le 10 avril 2024 et était animée par Johanne Saint-Charles, directrice de l'Institut Santé et société (ISS). L'allocution de clôture a été prononcée par Carole Jabet, directrice scientifique, Fonds de recherche du Québec – Santé.

Panélistes :

Luc Faucher, professeur, Département de philosophie, UQAM (Institut des sciences cognitives)

Catherine Des Rivières-Pigeon, professeure, Département de sociologie, UQAM (Institut de recherches et d'études féministes)

Julie Poissant, professeure, Département d’éducation et formation spécialisées, UQAM (Institut Santé et société)

Tegwen Gadais, professeur, Département des sciences de l’activité physique, UQAM, co-président du comité scientifique de la Chaire UNESCO de développement curriculaire (Institut d’études internationales de Montréal)

Maud Gendron Langevin, professeure, École supérieure de théâtre, UQAM (Institut du patrimoine)

Louise Vandelac, professeure, Département de sociologie, UQAM (Institut des sciences de l’environnement)

Ma thèse en 180 secondes - Finale UQAM 2024 Ma thèse en 180 secondes
02 Avril 2024
34:06

Organisé par l’Acfas depuis 2012, « Ma thèse en 180 secondes » est un concours de vulgarisation qui permet à des doctorantes et doctorants de présenter leur sujet de recherche en termes simples à un auditoire profane et diversifié. L’évaluation est basée sur trois critères: le talent d’orateur et la passion du participant pour son sujet, sa capacité de vulgarisation et la structure de son exposé. Le concours québécois a été le premier en langue française.

Élise Lhoste, lauréate de la finale UQAM, participera à la finale nationale à Ottawa et pourra participer à la finale internationale, qui se tiendra en Côte d’Ivoire à l’automne.

Les personnes participantes de l'édition 2024:

Valentine Auphan, doctorat en études et pratiques des arts
Titre vulgarisé de la thèse : « Immerstellaire : la création d'une expérience immersive et interactive pour dôme de planétarium inspirée par des récits de découvertes de météorites »

Camille Chabas, doctorat en sciences de l’environnement
Titre vulgarisé de la thèse : « Subjectif ne veut pas dire arbitraire ! Un voyage au cœur des choix fait par les modélisateurs évaluant l’épuisement des ressources naturelles »

Élise Comeau, doctorat en sciences de la Terre et de l’atmosphère
Titre vulgarisé de la thèse : « Reconsidérer comment évaluer un modèle climatique »

Maxime Fecteau, doctorat en études littéraires
Titre vulgarisé de la thèse : « Comment les métaphores façonnent notre vision du monde vivant »

Élise Lhoste, doctorat en biologie
Titre vulgarisé de la thèse : « Les microbes et les mines : une histoire profonde »

Marie-Pier Plouffe-Demers, doctorat en psychologie
Titre vulgarisé de la thèse : « Les accents de la douleur »

Frédéric Tremblay, doctorat en éducation
Titre vulgarisé de la thèse : « Quand le haut potentiel est-il trop haut ? »

Ma thèse en 180 secondes 2024: Élise Lhoste, Prix du jury et Prix du public Ma thèse en 180 secondes
02 Avril 2024
03:32

Élise Lhoste, candidate au doctorat en biologie
Titre vulgarisé de la thèse : « Les microbes et les mines : une histoire profonde »

Le concours institutionnel Ma thèse en 180 secondes offre une occasion unique aux jeunes chercheuses et chercheurs de parfaire leurs aptitudes en communication, tout en leur donnant la possibilité de diffuser leurs recherches dans l’espace public.

Résumer une thèse en 180 secondes est une gymnastique de vulgarisation impressionnante!

Le 20 mars 2024, Élise Lhoste a été choisie par le jury composé de Stephan Chaix, directrice du Cœur des sciences de l’UQAM, Pascale Martineu, agente de recherche et de planification au Service de la recherche et de la création de l’UQAM, David Paquette-Bélanger, lauréat du Prix du jury 2023, Patrice Potvin, professeur au Département de didactique de l’UQAM et Martine Turenne, rédactrice en chef de La Conversation Canada.

Lui a également été décerné le Prix du public.

Deux bourses de 1 500$ et 500$ ont accompagné ces prix.

Elle représentera l’UQAM lors de la finale canadienne du concours qui aura lieu le 15 mai 2024, dans le cadre du 91e Congrès de l'Acfas, à Ottawa.

 

Immobilier et changements climatiques | Mesurer la performance économique de la décarbonation des immeubles : présentation d'Autocase et Carbonsight Vidéos promo institutionnelles
02 Avril 2024
1:15:31

La vidéo de ce webinaire vous est présentée dans le cadre de la série Immobilier et changements climatiques organisée par la Chaire Ivanhoé Cambridge d'immobilier et l'Observatoire et centre de valorisation des innovations en immobilier (OCVI2) de l'ESG UQAM.

Ce webinaire, présenté par Riley McKillop, Économiste principal chez Autocase, a pour but de présenter des solutions numériques et technologiques permettant de mesurer les impacts économiques et environnementaux des stratégies de décarbonation des immeubles et des infrastructures.

Autocase est une plateforme qui réalise des analyses coûts-avantages pour les projets de construction et de rénovation. Elle permet de comparer différentes options en tenant compte des impacts financiers, sociaux et environnementaux. De plus, il aide les décideurs à choisir les solutions les plus rentables et les plus durables pour leurs bâtiments.

Carbonsight est conçu pour aider à quantifier les opportunités de réduction des émissions de carbone liées aux bâtiments. Il permet de créer un plan d’action bâtiment par bâtiment pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de carbone de manière rentable.

Le webinaire est animé par Yvon Rudolphe, chercheur à l’Observatoire et centre de valorisation des innovations en immobilier (OCVI2) et à la Chaire Ivanhoé Cambridge d’immobilier de l’ESG UQAM.

Conférence: «Engagement de la Jeunesse autochtone féminine à travers une démarche théâtrale» Éducation
27 Mars 2024
01:38:14

Nous avons eu le plaisir d’accueillir Patricia-Anne Blanchet, conseillère en pédagogie autochtone, doctorante et chargée de cours à la Faculté d’éducation de l’Université de Sherbrooke, dans le cadre d’une conférence publique.

L’expression artistique, plus précisément le théâtre social, apparait comme un moyen radicalement pacifique d’affirmer la souveraineté narrative de la jeunesse autochtone féminine. Cette approche offre des conditions propices pour dénoncer, dans une perspective écoféministe, les forces d’oppression coloniales que subissent les femmes autochtones et qui affectent les territoires. Ces productions théâtrales se déploient à travers une démarche de création collective basée sur la théâtralisation de récits de vie. Elles puisent aux racines de l’identité culturelle des femmes autochtones, participant à la coconstruction d’une écodramaturgie du mythe porteuse d’une esthétique du sacré. L’analyse d’un modèle pédagogique de création holistique inspiré des principes en pédagogie autochtone et d’approches narratives décoloniales permettra d’illustrer cette thématique.

Patricia-Anne Blanchet est conseillère en pédagogie autochtone à la Faculté d’éducation de l’Université de Sherbrooke. Elle y coordonne le comité M8wwa ᒪᒧ mamu qui œuvre, avec de nombreux partenaires autochtones, à la sensibilisation de la communauté universitaire ainsi qu’à l’inclusion des perspectives autochtones dans la formation à l’enseignement. Chargée de cours, doctorante et artiste-pédagogue, elle est membre du Centre de recherche collaborative autochtone – Atalwijokadimek de l’UdeS. Ses intérêts de recherche portent sur l’éducation artistique et l’oralité en contexte autochtone. Dans une posture d’humilité culturelle, Patricia-Anne agit également comme consultante et conceptrice pédagogique pour diverses organisations autochtones (La Boîte rouge vif, Centre des Premières Nations Nikanite, Regroupement des Centres d’amitié autochtones du Québec, etc.).

Conférence: «L'étagère de l'amour: genre, asymétrie émotionnelle et ses impacts sur la santé mentale Études féministes
14 Mars 2024
52:45

L'étagère de l'amour: genre, asymétrie émotionnelle et ses impacts sur la santé mentale - Conférence de Valeska Zanello

Les inégalités affectives et amoureuses entre les femmes et les hommes ont des impacts sur la santé mentale. Pour expliquer comment ça marche, l'auteure propose la métaphore de l’ "étagère de l'amour", dans laquelle les femmes se rencontrent et sont placées selon un idéal de beauté historique et culturellement construit. L'image (intersectionnelle) de l'étagère explicite la profonde différence qualitative d´investissement (asymétrique) que l'amour romantique a pour les femmes et les hommes. Pour les femmes, il s'agit de quelque chose d'identitaire; d’être choisies. Pour les hommes, il s'agit d'une source inépuisable de profit affectif et de protection de leur santé mentale.

Depuis presque 20 ans, Valeska Zanello, professeure au département de psychologie clinique de l’université Brasilia, travaille sur les thèmes de la santé mentale dans une perspective de genre au Brésil.  Ses recherches proposent des catégories analytiques de genre pour comprendre les processus de subjectivation de femmes et des hommes et comment celui-ci les rend vulnérables aux souffrances.

Activité organisée en collaboration avec l'Institut Santé et société.

Conférence: «Insistances» d'Élizabeth Lebovici Études féministes
14 Mars 2024
01:15:00

Ce qui m’a beaucoup frappée durant les trois mois de l’exposition Exposé·es au Palais de Tokyo (1), et qui n’a cessé de résonner depuis, c’est l’insistance avec laquelle des récits individuels, ceux de chaque visiteureuse, sont venus se greffer ou s’enlacer à celui d’une œuvre du  parcours, se laissant faire par elle pour énoncer une histoire personnelle en compagnie du VIH/sida surgissant en relation avec un présent en commun. Prendre en considération la communauté émotionnelle qui s’est fabriquée entre 35 artistes participant·es, les médiateurices, gardien·es et spectateurices me paraît une façon de retourner sur cette exposition par ses effets, en composant avec les féminismes, les études queer, la critique du validisme, le travail du soin et l’apport de l’activisme lesbien, pour enquêter sur que l’épidémie du VIH/sida fait faire, c’est-à-dire sur des façons dont le VIH/sida  (j’emprunte à Vinciane Despret) est mis « à pied d’œuvre ».

Elisabeth Lebovici  est critique et historienne d’art. Elle a été journaliste à Libération  (1991- 2006). Elle co-dirige depuis 2006 (avec Patricia Falguières et Natasa Petresin-Bachelez) un séminaire à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) intitulé « Something You Should Know : Artistes et Product·eur·ices » (http://sysk-ehess.tumblr.com/). Elle tient un blog critique et collabore depuis les années 1990 à de très nombreux ouvrages, séminaires et colloques consacrés aux artistes contemporain·e·s, au féminisme, à l’activisme, aux questions de genre et à la théorie queer. 

Activiste dans la lutte contre le VIH/sida, elle a été co-fondatrice du fonds de dotation LIG/lesbiennes d’intérêt général https://www.fondslesbien.org. Elle est la co-auteure, avec Catherine Gonnard, de Femmes Artistes/ Artistes Femmes,  Paris, de 1880 à nos jours (Paris, Editions Hazan, 2007).  

(1) EXPOSÉ·ES, D’après ce que le sida m’a fait d’Elisabeth Lebovici. Palais de Tokyo, Paris, du 14 février au 16 mai 2023. Curateur François Piron.

Conférence: «L’Arcane de la reproduction. Femmes au foyer, prostituées, ouvriers et capital» Études féministes
14 Mars 2024
01:38:29

À partir de la publication de son livre L’Arcane de la reproduction, Femmes au foyer, prostituées, ouvriers et capital, Leopoldina Fortunati présentera dans quel contexte politique l'Arcane est né, les objectifs fondamentaux de son discours, qui sont essentiellement deux : démontrer que : a) le travail domestique est une composante clé du système capitaliste, car il est capable de produire de la valeur; b) le travail domestique est un travail productif.

Également, la conférence aborde cinq thèses qui ont été proposées dans son livre: 1) le système capitaliste n'est pas formé seulement par la sphère de la production des marchandises, mais par deux sphères : celles de la production et de la reproduction de la force de travail ; 2) ces deux sphères fonctionnent de manière opposée. Le capital peut fonctionner de manière plus productive que les modes de production précapitaliste, parce qu'il fonctionne d'une façon double; 3) la sphère de la reproduction fonctionne de manière plus complexe que la production, c’est-à-dire elle fonctionne de manière double et opposée sur le plan formel et sur le plan réel; 4) la sphère de la reproduction est composée du travail domestique et du travail du sexe; 5) la consommation du travail reproductif est productive, parce qu’elle augmente la valeur d’usage de la force de travail, qui est le seul élément qui créer de la valeur.

Finalement, elle explique comment on peut utiliser l’Arcane aujourd’hui pour comprendre la structure actuelle du système capitaliste, ce que sont devenues la reproduction et la famille, et comment on peut faire de la théorie politique féministe avec un programme et une stratégie politique auxquels toutes les forces féministes sont en train de contribuer.

Biographie

Leopoldina Fortunati est une fémi­niste marxiste ita­lienne née en 1949 et mili­tante opé­raïste dans les années 1970. Elle est aujourd’hui cher­cheuse et pro­fes­seure de socio­lo­gie à l’uni­ver­sité d’Udine spé­cia­li­sée dans l’impact social de la tech­no­lo­gie et des nou­veaux médias.

Vous pouvez également lire l'article Les femmes et la communication numérique : où en sommes-nous? paru dans la revue Ouvrage.

Conférence: «Une exploration originale de la division sexuelle de la dette dans le capitalisme» Études féministes
14 Mars 2024
01:22:53

Conférence d'Isabelle Guérin organisée en collaboration avec l'Observatoire pour le développement inclusif par le genre (OFDIG) et l’Institut de recherches et d'études féministes (IREF) suivie d'une discussion avec Marie Langevin et Nora Nagels  professeures à l’UQAM, membres de l’Observatoire francophone pour le développement inclusif par le genre (OFDIG) et de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF) et Emma Jean, doctorante en sociologie à l’Université de Montréal et membre du Groupe de recherche interuniversitaire et interdisciplinaire sur l’emploi, la pauvreté et la protection sociale (GIREPS).

Les femmes, et en particulier les femmes pauvres, sont devenues des rouages essentiels du capitalisme financiarisé. Globalement, les femmes sont responsables de la gestion de la dette des ménages. Cette dette a explosé au cours de la dernière décennie, atteignant un niveau record après la pandémie de COVID-19. Dans diverses catégories de prêts, y compris les prêts à risque, les microcrédits et les prêts à la consommation, les femmes sont surreprésentées en tant que clientes et gestionnaires.

The Indebted Woman examine les rôles cruciaux et pourtant invisibles que jouent les femmes pauvres dans la création et la consolidation des marchés de la dette et du crédit. Isabelle Guérin, Santosh Kumar et G. Venkatasubramanianont passé plus de vingt ans à observer un marché du crédit qui cible spécifiquement les femmes dans la campagne indienne du centre-est du Tamil Nadu. Ils ont constaté que le remboursement des dettes exigeait un véritable travail, impliquait fréquemment des transactions sexuelles et façonnait le corps et la subjectivité des femmes. En combinant l'ethnographie, les enquêtes statistiques et les journaux financiers, ces chercheur·es proposent une théorie inédite de la division sexuelle de la dette qui va bien au-delà du cas indien, exposant les modalités par lesquelles le capitalisme transforme les rôles sociaux de genre et comment cette transformation alimente à son tour le capitalisme.

La maison collective | La minute UQAM La minute UQAM
08 Mars 2024
01:29

Présentée dans la cour du pavillon de Design lors de la Nuit blanche à Montréal, l’installation La maison collective reproduit les pièces principales d’un chez soi et propose au public une réflexion tout au long du parcours.

Conçue par les étudiantes et étudiants du DESS en design d’événements, l’installation évoque autant de petits gestes et plaisirs du quotidien en représentant la réalité des personnes sans toit.

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