Événements
Catégorie :
Événements
(1575 vidéos)
Captation sonore de la conférence «Le clocher Saint-Jacques de l'UQAM: perspectives d'avenir», présentée le 29 mars 2016 à la Salle des Boiseries
Animation : Denis Boucher, chargé de cours à l’École de design et membre du Conseil du patrimoine religieux du Québec.
Présentations de Nathalie Lafortune, artiste en arts visuels qui s'est intéressée à l'expérience architecturale d'intégration du clocher dans le campus de l'UQAM, du professeur Martin Drouin (M.A. histoire, 1996; Ph.D. études urbaines, 2004) et du chargé de cours et architecte paysagiste Jonathan Cha (Ph.D. études urbaines, 2014), du Département d'études urbaines et touristiques.
La Chaire Ivanhoé Cambridge d’immobilier et l'Observatoire et centre de valorisation des innovations en immobilier (OCVI2) de l’ESG UQAM, en collaboration avec plusieurs organisations partenaires issues des secteurs public, privé et universitaire, ont organisé un colloque sur le thème "Penser l’immobilier autrement | Immobilier + Biodiversité : valoriser les liens entre l'environnement bâti, l’humain et la nature pour un développement durable, résilient et inclusif des territoires en milieu urbain". Celui-ci s'est tenu à l'UQAM, le 15 décembre, en parallèle à la COP15 sur la biodiversité qui se déroulait à Montréal du 7 au 19 décembre 2022 et à l'issue de laquelle un accord historique a été signé sur la biodiversité: Le cadre mondial Kunming-Montréal. Ce colloque avait pour but de sensibiliser et mobiliser les acteurs du secteur immobilier pour agir collectivement en faveur de la protection et du développement de la biodiversité. Les participants étaient invités à participer activement aux discussions et à la recherche de solutions, à discuter des changements auxquels ils sont confrontés liés au climat et à la biodiversité ainsi qu'à proposer et à prioriser des pistes de solutions concrètes en faveur de la valorisation et de la protection de la biodiversité. Enfin, ils étaient conviés à réfléchir collectivement sur des actions concrètes et des mesures transformatrices qui pourraient être mises en œuvre dans le but de réduire la vulnérabilité de leurs immeubles, d’augmenter la résilience des communautés urbaines et la durabilité du cadre bâti. Dans cet esprit, ils étaient appelés à resserrer leur collaboration et à harmoniser leurs actions pour penser l’immobilier autrement.
Conférenciers et interventants : Andrée De Serres, Titulaire, Chaire Ivanhoé Cambridge d'immobilier, ESG UQAM; Komlan Sedzro, Doyen, ESG UQAM; Stéphane Villemain, Chef de l’investissement durable, Ivanhoé Cambridge; François William Croteau, Directeur principal chez Innovitech - Stratégie et innovation pour les villes résilientes. Maire d’arrondissement | Rosemont – La Petite-Patrie (2009-2021); Benoit Robert, Professeur, Directeur du Centre risque & performance, Polytechnique Montréal; Éric Pineault, Professeur, Directeur scientifique, Pôle sur la ville résiliente, UQAM; Joannie Tanguay, Vice-présidente, Stratégie et exécution, Ivanhoé Cambridge; Stephan Déry, Sous-ministre adjoint des Services immobiliers, Services publics et Approvisionnement Canada, Gouvernement du Canada; Catherine Fernet, Présidente, Association des architectes paysagistes du Québec; Marianne Duguay, Vice-présidente principale à la gestion des actifs immobiliers, Fonds immobilier de solidarité FTQ.
Colloque «Regard sur la mode de luxe»
Le colloque propose un regard sur la création, la beauté, le superflu et l’ostentatoire de la mode de luxe, un secteur d’activité économique internationale en pleine croissance qui s’adapte aux nouveaux marchés et à la singularité des exigences de consommation. La mode de luxe constitue un immense champ de compétences. Le concept en a été établi en 1954 par le comité Colbert (association de 12 métiers), qui était chargé de le promouvoir tout en veillant au maintien de règles internationales harmonieuses, de l’authenticité du savoir-faire de biens de luxe, des standards de qualité, etc. Comme créneau important de l’industrie du luxe, la mode de luxe fait l’objet de domaines d’études scientifiques qui gravitent autour de plusieurs disciplines universitaires.
Ce colloque pose un regard neuf sur le caractère singulier de ce secteur d’activité, met en commun un savoir explicatif ou compréhensif de la durabilité, de la pérennité de ce type de mode et de sa capacité d’adaptation aux marchés mondiaux. Les dimensions (im)matérielles de la mode de luxe seront abordées suivant quatre axes de réflexion qui serviront à orienter les échanges :
1) Savoir-faire et consommation durable de la mode de luxe : la matière, l’artisan, le développement durable, les innovations, les processus de la production et de la logistique.
2) Cadre juridique pour l’internationalisation et la contrefaçon des marques de luxe : recherche de moyens pour freiner la contrefaçon, notamment la maroquinerie.
3) Marketing de la mode de luxe et consommateur : mise en marché, modèles d’affaires qui sous-tendent petits fabricants et conglomérats en fonction de leurs origines, et facteurs de réussite.
4) Imaginaire collectif et rapport au luxe : subjectivité, sens, symbolisme, identification individuelle et culturelle, images de marque, etc.
Ce colloque sera un point de rencontre et de partage actuel des études sur la mode de luxe, dont les savoirs paraissent indispensables pour dégager de nouvelles perspectives et orientations de recherches.
Colloque «L’acceptabilité sociale : mouvements sociaux, démocratie participative et visions du développement»
L’acceptabilité sociale a émergé alors que des projets et des décisions privés comme publics font l’objet d’une contestation grandissante aux niveaux local, national et parfois international. Issue de la controverse, elle traduit le jugement des populations à propos des politiques ou des projets proposés par les décideurs et les promoteurs. Ce jugement populaire est tributaire d’un processus de construction sociale à travers lequel sont formulées les solutions de remplacement face à une situation donnée. Ce jugement est dynamique et peut se transformer au gré des débats sociaux, des enjeux et de l’évolution des valeurs dont il est l’incarnation. Dans cette perspective, l’acceptabilité sociale ne saurait être confinée à la gestion judicieuse d’un projet ou à l’implantation d’une politique au moment de sa promotion ou de son lancement.
En effet, les entrepreneurs doivent prendre acte de la manière dont le progrès est envisagé par les acteurs sociaux tandis que les décideurs publics ne peuvent plus se contenter de mobiliser le processus de démocratie représentative. Les décideurs espèrent parfois canaliser cette dynamique en recourant à des instances de dialogue social dans le cadre d’une démocratie de plus en plus participative. Mais ces instances ne peuvent alors plus jouer le rôle pacificateur qu’on leur prête, car elles demeurent des lieux de débats où s’affrontent des visions du monde qui devront, ultimement, faire l’objet d’arbitrages.
Ce colloque vise à resituer les enjeux de l’acceptabilité sociale dans le cadre d’une réflexion sur les modalités de la démocratie participative et l’action des mouvements sociaux ainsi que sur la vision du progrès et du collectif. Il s’agit de saisir comment s’articulent les débats et les conflits sociaux à l’occasion du lancement de projets industriels et de politiques publiques, et d’évaluer le potentiel et les défis des instances démocratiques intermédiaires à construire des compromis qui se projettent dans une vision d’avenir du développement.
Conférence présentée par l'Institut des sciences cognitives, le 26 novembre 2010.
Conférencier: Benoît Dubreuil
Entrevue de Luc-Alain Giraldeau, écologiste comportemental, UQAM par Sophie Malavoy
Les pigeons vivent en couple et sont fidèles pendant toute leur vie. Mais comment se créent ces couples? La couleur des plumes aurait-elle de l’importance? Luc-Alain Giraldeau, écologiste comportemental, mène l’enquête. Quels sont ses indices de départ, ses hypothèses? Quelle expérience monter? Et à quels résultats s’attendre? Sa mission : vous montrer les coulisses de la recherche en écologie comportementale et vous faire vivre en direct la naissance d’une étude scientifique.
Ce webinaire vous est présenté dans le cadre de la série "IMMOBILIER + BIODIVERSITÉ » organisé par la Chaire Ivanhoé Cambridge d'immobilier et l'Observatoire et centre de valorisation des innovations en immobilier (OCVI2) de l'ESG UQAM. Cette série vise à sensibiliser le monde de l’immobilier aux enjeux liés aux changements climatiques et à la protection de la biodiversité ainsi qu'à faire connaître les solutions actuellement étudiées par les chercheur.e.s en sciences de la terre, sciences naturelles et génie.
Cette conférence intitulée « La ruée vers l’eau » était présentée conjointement par Florent Barbecot, Ph.D., Titulaire de la Chaire stratégique en hydrogéologie urbaine et professeur au département des sciences de la Terre et de l'atmosphère, Université du Québec à Montréal (UQAM) et Janie Masse-Dufresne, Ph.D., professeure adjointe en hydrologie au Département de génie de la construction à l’École de technologie supérieure (ÉTS) et membre du Laboratoire hydrologie, climat et changements climatiques (HC3). Celle-ci portait plus particulièrement sur les aménagements du cycle de l’eau et leurs impacts sur le développement du tissu urbain. Un mot d’introduction était présenté par Andrée De Serres, Ph.D., Titulaire de la Chaire Ivanhoé Cambridge d’immobilier et directrice de l’Observatoire et centre de valorisation des innovations en immobilier (OCVI2). Le webinaire était animé par Sylla Maldini, Étudiant au doctorat en administration, ESG UQAM.
Présentée lors du colloque « Art et santé. Expériences et pratiques artistiques comme catalyseurs de changement » organisé par l’UQAM les 6 et 7 octobre 2014 dans le cadre des Entretiens Jacques Cartier.
Conférenciers :
Patrick Dubé
Co-directeur de la recherche
Métalab, Société des Arts Technologiques (SAT), Montréal
Claire Grillet
Designer
Umvelt Service Design, Montréal
Ce quatrième grand colloque international de l'Observatoire sur le Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord vise à questionner les différentes réalités existantes dans les pays moyen-orientaux en se prémunissant de considérer ces réalités comme un bloc monolithique et homogène. Bien que certains aspects identitaires et culturels ou encore la nature des régimes politiques en vigueur puissent se rapprocher d'un pays à l'autre de ces régions, il faut parvenir à distinguer la dynamique propre à chacun des pays qui les composent. La réalité de la société iranienne est loin d'être identique à la réalité de la société irakienne, même si ces deux pays sont composés à majorité de musulmans chiites (une minorité dans le monde arabo-musulman). Les mouvements de contestations populaires ayant eu lieu au Caire ou à Tunis diffèrent en terme d'ampleur et d'intensité par rapport à ceux ayant lieu à Damas, à El Beïda, à Sana'a ou à Karrana. Le rapport de l'individu à la religion, la place de l'Islam dans la société, l'instrumentalisation politique de la légitimité religieuse et surtout l'interprétation des textes religieux diffère également d'un pays musulman à un autre.
Avec Sami Aoun, professeur titulaire à l'École de politique appliquée de l'Université de Sherbrooke et directeur de l'Observatoire du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord à la Chaire Raoul-Dandurand de l'UQAM.
Conférence présentée le 9 mars 2011 par l'Institut d'études internationales de Montréal (IEIM) et le Centre d'études sur le droit international et la mondialisation (CEDIM).
Conférenciers: Pierre Bosset et Bernard Duhaime, professeurs au Département des sciences juridiques de l'UQAM.