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7e congrès de l'AIFRIS: Table ronde - Nouvelle philanthropie: vers quelles recompositions des solidarités sociales? Sciences humaines
06 Juillet 2017
01:48:31

7e congrès de l'AIFRIS: Solidarités en questions et en actes : quelles recompositions?

- Sylvain Lefèvre, professeur, École des sciences de la gestion, PhiLab, UQÀM
- Marie-Chantal Locas, agente d'analyse, de liaison et de formation, Regroupement des organismes communautaires de Montréal (RIOCM)
- Jean-Marc Chouinard, président de la Fondation Lucie et André Chagnon, Québec
- Sylvie Wampfler, psychomotricienne et chargée de cours, Haute école de travail social de Genève, Suisse.

Conférence: «Modèles, méthodes et outils pour des 'serious games' à métaphore intrinsèque Sciences humaines
30 Mars 2012
01:48:54

Conférence présentée par l'Institut des sciences cognitives.

Conférencier : Jean-Marc Labat

Conférence - Bienvenue au monde de CRISPR! Coeur des sciences
10 Octobre 2018
01:49:10

Une conférence de Rodolphe Barrangou

Mise au point en 2012 et implémentée début 2013, la popularité de la technologie d’édition du génome CRISPR connaît depuis une croissance fulgurante. Pourquoi? En quoi consiste cette avancée révolutionnaire capable de modifier l’ADN de n’importe quelle espèce, y compris chez l’homme? Ses retombées vont-elles au-delà du domaine médical? Peut-elle, par exemple, s’appliquer de manière imminente à l’alimentaire ou à l’agriculture? Quelles sont ses implications éthiques et légales? Tour d’horizon de l’incroyable potentiel de démocratisation d’une technologie qui affectera sans aucun doute notre société tout entière. 

Rodolphe Barrangou est professeur agrégé en sciences de l'alimentation et chercheur distingué Todd R. Klaenhammer en probiotique à la North Carolina State University. Il est également éditeur en chef  du Journal CRISPR. Ses recherches portent sur CRISPR-Cas dans les bactéries, notamment laitières. Élu membre de la National Academy of Sciences Américaine en 2018, il a reçu le Prix Canada Gairdner 2016 et le 2018 NAS Prize in Food and Agricultural Sciences.
Cette conférence est organisée en collaboration avec la Fondation Gairdner et le Fonds de recherche du Québec-Santé.

Conférence: «Enjeux du travail social visant la justice socio-environnementale» Éducation
10 Mai 2022
01:49:13

Dans le cadre de notre programmation scientifique 2022-2023, nous avons eu le plaisir d’accueillir Arnaud Morange et Frédérick Lemarchand, pour un séminaire de recherche, qui était animé par Sylvie Jochems, professeure à l’École du travail social de l’UQAM et chercheure régulière du Centr’ERE. 10 mai 2022.

Vers un travail social intégrant pleinement les dimensions humaines et écologiques ? Arnaud Morange, docteur en sociologie, chercheur titulaire au sein de l’Institut Régional du Travail Social (Normandie-France) et chercheur associé au Centr'ERE (UQAM)

La dernière journée internationale du travail social (15 mars 2022) s’intitulait : « co-construire un nouveau monde éco-social : ne laisser personne de côté ». À partir de cette proposition, nous nous demanderons ce que peut bien signifier le terme d’« éco-social » dans les formations et dans les pratiques du travail social, dans la perspective de l’impérieuse nécessité d’une véritable transition écologique. Puis nous nous questionnerons sur la capacité des « personnes mises de côté » à s’emparer elles-aussi des préoccupations écologiques.

Énergie et société : des rapports à redéfinir Frédérick Lemarchand, professeur de sociologie à l’Université de Caen Normandie.

L’approche sociale de la question énergétique repose sur un triple malentendu : économique, écologique et politique. Économique dans la mesure où les modèles explicatifs (néoclassiques) n’ont pas compris que les facteurs de production (le travail et le capital) ne produiraient rien sans un apport massif d’énergie. Écologique car nous nous heurtons à un dilemme problématique : pour extraire ou produire l’énergie, il faut des métaux, et pour disposer des métaux il faut (beaucoup) d’énergie. Politique enfin car le choix du carbone (irremplaçable par sa capacité productive) qui a produit 80% de l’abondance énergétique à l’origine du « progrès » économique de l’Occident ne saurait être « remplacé » par les renouvelables (qui représentent 2% de la production), même en les développant à outrance. Face à cette triple impasse, qui conditionne la vie sociale plus qu’on ne l’imagine (le travail, les retraites, les études longues, la santé …) de grandes transformations, subies ou choisies, s’annoncent. Comment s’y préparer ?

La démocratie du 20e siècle par Pierre Rosanvallon Événements
18 Avril 2013
01:49:13

Conférence du 19 avril 2013 avec Pierre Rosanvallon et le titulaire de la Chaire de recherche du Canada en mondialisation, citoyenneté et démocratie de l’UQAM, Joseph Yvon Thériault, aussi professeur au Département de sociologie.

Pierre Rosanvallon est un historien et un intellectuel français. Il est aussi professeur au Collège de France ainsi que titulaire de la Chaire d’histoire moderne et contemporaine du politique. Ses travaux ont été traduits dans 22 langues et édités dans 26 pays. Outre son enseignement en France, il donne également des cours et des conférences dans des universités du monde entier.

Séminaire: «Le travail social vert est-il mûr? Enjeux du travail social visant la justice socio-environnementale» Environnement
10 Mai 2022
01:49:14

Dans le cadre de notre programmation scientifique 2022-2023, nous avons eu le plaisir d’accueillir Arnaud Morange et Frédérick Lemarchand, pour un séminaire de recherche, qui était animé par Sylvie Jochems, professeure à l’École du travail social de l’UQAM et chercheure régulière du Centr’ERE.

Vers un travail social intégrant pleinement les dimensions humaines et écologiques ?
Arnaud Morange, docteur en sociologie, chercheur titulaire au sein de l’Institut Régional du Travail Social (Normandie-France) et chercheur associé au Centr'ERE (UQAM)

La dernière journée internationale du travail social (15 mars 2022) s’intitulait : « co-construire un nouveau monde éco-social : ne laisser personne de côté ». À partir de cette proposition, nous nous demanderons ce que peut bien signifier le terme d’« éco-social » dans les formations et dans les pratiques du travail social, dans la perspective de l’impérieuse nécessité d’une véritable transition écologique. Puis nous nous questionnerons sur la capacité des « personnes mises de côté » à s’emparer elles-aussi des préoccupations écologiques.

Énergie et société : des rapports à redéfinir
Frédérick Lemarchand, professeur de sociologie à l’Université de Caen Normandie

L’approche sociale de la question énergétique repose sur un triple malentendu : économique, écologique et politique. Économique dans la mesure où les modèles explicatifs (néoclassiques) n’ont pas compris que les facteurs de production (le travail et le capital) ne produiraient rien sans un apport massif d’énergie. Écologique car nous nous heurtons à un dilemme problématique : pour extraire ou produire l’énergie, il faut des métaux, et pour disposer des métaux il faut (beaucoup) d’énergie. Politique enfin car le choix du carbone (irremplaçable par sa capacité productive) qui a produit 80% de l’abondance énergétique à l’origine du « progrès » économique de l’Occident ne saurait être « remplacé » par les renouvelables (qui représentent 2% de la production), même en les développant à outrance. Face à cette triple impasse, qui conditionne la vie sociale plus qu’on ne l’imagine (le travail, les retraites, les études longues, la santé …) de grandes transformations, subies ou choisies, s’annoncent. Comment s’y préparer ?

Table ronde: «Le rôle de la technologie dans la lutte contre la pandémie COVID-19» Communication
29 Septembre 2020
01:49:20

Table ronde organisée par l'axe 4 du CRICIS, Épistémologies critiques en culture et en communication. Avec: 

– Stéphane COUTURE, professeur au Département de communication à l’Université de Montréal et chercheur au LabCMO

– Andrew FEENBERG, professeur à la School of Media à l’Université Simon Fraser (Vancouver)

– Karine GENTELET, professeure au Département des Sciences sociales à l’Université du Québec en Outaouais (UQO) et titulaire de la Chaire Abeona-ENS-Obvia en intelligence artificielle et justice sociale.

– Anne-Sophie LETELLIER, étudiante au Doctorat en communication à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et codirectrice de CRYPTO-Québec

– Artur Jorge de MATOS ALVES, professeur au Département des Sciences Humaines, des Lettres et des Communications à l’Université TÉLUQ (Montréal) et chercheur au CRICIS et

– André MONDOUX, professeur à l’École des médias à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), codirecteur du GRISQ et chercheur au CRICIS.

La table ronde est animée par France AUBIN, professeure au département de communication sociale de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et chercheure au CRICIS.

Les  participant.es discutent à partir des trois questions suivantes:
1) Selon vous, quelle place les dispositifs technologiques, comme les applications de traçage, occupent-ils dans la lutte contre la pandémie (au Canada / au Québec / dans d’autres provinces / ailleurs) et devrions-nous considérer d’autres outils, d’autres moyens ?
2) À votre avis, qui a compté dans le débat (dans la « conversation ») sur l’implantation éventuelle de solutions technologiques par les gouvernements canadien, québécois ou autre ? Est-ce que ce sont d’abord les experts et expertes en santé ? Les femmes et hommes politiques ? Les entreprises de technologies? La société civile? Les journalistes ? Les citoyens et citoyennes ? On a consulté qui et comment ? Et qui a pu être exclus de la « conversation » ?
3) À partir du bilan que vous faites de la place occupée par les solutions technologiques et de l’étendue de la « conversation », que proposez-vous de conserver ou de modifier, tant en termes de solutions que de participation à l’élaboration de celles-ci ?

L'événement a eu lieu le 24 septembre 2020 sur Zoom.

Séminaire Écoanxiété et ERE: «Quels défis et possibilités?» Environnement
26 Mai 2021
01:49:24

Nous vivons une crise socioécologique sans précédent dont les changements climatiques sont l’une des manifestations les plus connues. Ces bouleversements représentent un défi important pour la santé mentale et le bien-être des individus et des communautés. Parmi les impacts associés à cette crise se retrouve l’écoanxiété. Colère, tristesse et impuissance caractérisent cette peur d’un avenir peu enviable. Malgré tout, certain.e.s choisissent de s’engager activement au sein de leurs collectivités. Comment transformer notre détresse en moteur d’action pour la planète devient une question pressante, notamment au sein des milieux éducatifs formels et non-formels.

Quel rôle joue l’éducation, et plus précisément l’éducation relative à l’environnement (ERE) face à ce phénomène croissant? Comment les enseignant.e.s et les éducateur.trice.s peuvent reconnaître et accueillir la charge émotive que suscitent les enjeux socioécologiques contemporains ? De quelles façons l’ERE pourrait guider et faciliter le développement de la résilience émotive et du pouvoir agir?

Le présent séminaire visait à explorer ces questions vives en présentant l’état des connaissances sur l’écoanxiété, mais surtout, en échangeant avec les acteurs et actrices du milieu de l’éducation pour (re)connaître leurs besoins, questionnements et réalités propres.

Panélistes

Maxime Boivin, co-directrice du projet « Écoanxiété et engagement citoyen : Comment transformer la détresse en moteur d’action pour la planète », INSPQ

Mathieu Létourneau, finissant à la maîtrise en sciences de l’environnement, supervisé par Lucie Sauvé. Titre de l’essai : « Écoanxiété : clarifications conceptuelles et réseau notionnel. »

Félix Lebrun-Paré, conseiller scientifique en mobilisation des connaissances à l’Institut national de santé publique (INSPQ).

Violaine Brisebois-Lavoie, professeure de psychologie au Collège de Bois-de-boulogne et militante (Profs pour la Planète et La Planète s’invite au parlement)

Animation : Anne-Sophie Gousse-Lessard, professeure associée à l’Institut des sciences de l’environnement de l’UQAM, et chercheuse associée au Centr’ERE.

Conférence inaugurale des Journées québécoises de la solidarité internationale Colloques et conférences
13 Décembre 2012
01:49:42

Événement présenté le 7 novembre 2012 par l'Institut des études internationales de Montréal (IEIM), le 5e Sommet citoyen de Montréal, le Forum social québécois et UniAlter.

Avec la participation de Chico Whitaker, cofondateur du Forum social Mondial.

Collation des grades 2015 de la Faculté des arts Collations des grades
13 Octobre 2015
01:50:25

Cérémonie officielle de remise des diplômes aux finissants universitaires. Remise d’un doctorat honoris causa à l'architecte Dan Hanganu.

Cérémonie du 13 novembre 2015 à 15h

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