Yves Jalbert

Spécialiste de contenu à l’Association pour la santé publique du Québec (ASPQ)

Annie Aimé

Professeure au Département de psychoéducation et de psychologie de l’Université du Québec en Outaouais

Conférence-midi de l’Institut Santé et société de l’UQAM du 22 novembre 2017

Quelle est la nature des difficultés corporelles à travers les périodes développementales ? Comment les Québécois.es gèrent-ils leur poids ? Pour répondre à ces questions, cette conférence aborde d’abord des aspects comme l’âge de l’apparition des insatisfactions corporelles, les causes d’une mauvaise perception de l’image corporelle, les différences sexuelles et les périodes développementales clés associées à des changements corporels importants. Ensuite, les résultats d’un sondage portant sur la gestion du poids, réalisé en 2017 auprès de 3 529 adultes québécois, sont présentés en fonction de quatre actions de la gestion du poids, dont la perte de poids, le maintien du poids, le gain de masse musculaire et la prise de poids chez les femmes et les hommes.

20 septembre 2017, UQAM

Karen Messing, professeure émérite au Département des sciences biologiques de l’Université du Québec à Montréal

Jessica Riel, professeure au Département de relations industrielles de l’Université du Québec en Outaouais

À la suite des présentations des deux conférencières, l’auditoire, en salle et dans les différentes constituantes du Réseau de l’Université du Québec, est invité à poser des questions et à engager la discussion. Cette capsule vidéo constitue une captation des principaux échanges.

Julie Beaulieu, professeure au Secteur disciplinaire des sciences de l'éducation de l’Université du Québec à Rimouski

Conférence-midi de l’Institut Santé et société de l’UQAM du 18 octobre 2017

En face à face ou via les technologies de l’information et de la communication, les nouvelles études ont montré que l’intimidation peut avoir des conséquences néfastes sur la santé physique et psychologique des jeunes. Au-delà des cours d’école, c’est dans la permanence de la connexion à internet et dans une désinhibition déconcertante que sur les téléphones portables, les tablettes, les ordinateurs, les consoles de jeux et les réseaux sociaux que des jeunes se font insulter, menacer et intimider. En dressant un portrait d’ici et d’ailleurs des facteurs de risque et de protection ainsi que des conséquences associés à l’intimidation traditionnelle et à la cyberintimidation, cette conférence offre la possibilité de comprendre et d’ajuster les modèles de prévention et d’intervention aux besoins réels des jeunes afin de mieux agir.

Jude Mary Cénat, stagiaire postdoctoral à la Chaire de recherche du Canada sur les traumas interpersonnels et la résilience (UQAM)

Conférence-midi de l’Institut Santé et société de l’UQAM du 18 octobre 2017

En face à face ou via les technologies de l’information et de la communication, les nouvelles études ont montré que l’intimidation peut avoir des conséquences néfastes sur la santé physique et psychologique des jeunes. Au-delà des cours d’école, c’est dans la permanence de la connexion à internet et dans une désinhibition déconcertante que sur les téléphones portables, les tablettes, les ordinateurs, les consoles de jeux et les réseaux sociaux que des jeunes se font insulter, menacer et intimider. En dressant un portrait d’ici et d’ailleurs des facteurs de risque et de protection ainsi que des conséquences associés à l’intimidation traditionnelle et à la cyberintimidation, cette conférence offre la possibilité de comprendre et d’ajuster les modèles de prévention et d’intervention aux besoins réels des jeunes afin de mieux agir.