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Jocelyne Saint-Arnaud, chercheuse associée au Centre de recherche en éthique (CRÉ) et professeure associée au Département de médecine sociale et préventive de l’École de santé publique de l’Université de Montréal.
Pour répondre à la question, seront d’abord précisés les critères d’accès aux soins de fin de vie et les facteurs favorisant une mort dans la dignité; puis ce qu’apporte la loi 2, en termes de soins palliatifs, directives anticipées et aide médicale à mourir, sera examiné à la lumière des facteurs et critères d’accès précisés; enfin, cette réflexion critique permettra de définir des orientations équitables pour le futur en matière de soins de fin de vie.
Anne Saris, professeure au Département des sciences juridiques et chercheuse à la Chaire de recherche sur le vieillissement et la diversité citoyenne de l’UQAM.
Après avoir fait le point sur la jurisprudence sur la dignité en matière de fin de vie médicalisée, seront abordées les zones grises du droit en matière d’accès aux soins de fin de vie à l’aune notamment de la coexistence du droit fédéral (affaire Carter) et de la loi québécoise, pour terminer par trois points touchant à l’accès à l’aide à mourir : les modalités d’information à ce soin et l’évaluation de l’aptitude à consentir à ce soin, le rôle de la famille et des proches.
Jocelyne Saint-Arnaud, chercheuse associée au Centre de recherche en éthique (CRÉ) et professeure associée au Département de médecine sociale et préventive de l’École de santé publique de l’Université de Montréal.
Anne Saris, professeure au Département des sciences juridiques et chercheuse à la Chaire de recherche sur le vieillissement et la diversité citoyenne de l’UQAM.
À la suite des présentations de nos deux conférencières, l’auditoire, en salle et dans les différentes constituantes du réseau de l’Université du Québec, est invité à poser des questions et à engager la discussion. Cette capsule vidéo constitue une captation des principaux échanges entre les participants.
Séance d'information présentée dans le cadre des Portes ouvertes du 9 février 2016.
Droit et société, la nouvelle concentration de la maîtrise en droit : une spécialisation accessible aux étudiants de toutes les disciplines.
Conférencier : Rémi Bachand, directeur des programmes de cycles supérieurs en droit
Séance d'information pour les futurs étudiants libres présentée dans le cadre des Portes ouvertes du 9 février 2016.
Conférencier : Sophie Bonin, conseillère en recrutement, Bureau du recrutement
Les finissants en Communication - Médias interactifs vous invitent à participer à Aura, une forêt interactive au coeur du centre-ville de Montréal.
Le 27 février 2016 durant La nuit blanche à Montréal.
Au metro Berri-UQAM, coin Saint-Denis et Maisonneuve.
Audio seulement
Conférence présentée dans le cadre des conférences mensuelles de la Chaire de recherche sur l’homophobie de l’UQAM.
Conférencier : Jorge Flores-Aranda, Ph. D. en sciences cliniques, Université de Sherbrooke
Smart Drugs : Quelques mythes à détruire?
Johanne Collin, professeure titulaire à la Faculté de pharmacie, Université de Montréal et directrice du MÉOS (Groupe de recherche sur le Médicament comme objet social).
Le phénomène des smart drugs ou amplificateurs cognitifs pour améliorer les performances académiques chez les étudiants universitaires a été largement médiatisé depuis une dizaine d’années et suscite le débat au niveau des enjeux éthiques qui le sous-tendent. Bien qu’on n’en connaisse pas très bien les contours statistiques –peu d’études québécoises sur le sujet- des études exploratoires comme celle que je mène actuellement permettront d’en savoir davantage. Ce phénomène appréhendé le plus souvent sous l’angle de la déviance/tricherie/toxicomanie avec toutes les connotations morales que cela implique, en cache un autre, beaucoup plus puissant et susceptible d’alimenter l’ampleur croissante des recours à ces médicaments : celui de la porosité des frontières entre usage médical et non médical des médicaments psychotropes et notamment des psychostimulants. Traditionnellement interprété comme émanant d’un processus de médicalisation de la société, on parle désormais de «pharmaceuticalisation» pour qualifier l’ampleur du phénomène.
Dans le cadre des conférences-midi de l'ISS, nous vous présentons: Le dopage à des fins de performance chez les étudiants et les professionnels. Université du Québec à Montréal, 20 janvier 2016
Logiques d’usage des médicaments à des fins de performance: discours de jeunes adultes québécois, étudiants et professionnels.
Christine Thoër, professeure au Département de communication sociale et publique et directrice de ComSanté, Université du Québec à Montréal.
L’objectif de cette recherche exploratoire basée sur des entrevues semi-dirigées réalisées auprès de 26 jeunes adultes québécois étudiants et travailleurs, était de cerner les significations qu’ils construisent autour de l’utilisation des médicaments à des fins de performance. Nos résultats mettent en évidence 3 logiques de consommation. Le recours aux médicaments stimulants est présenté comme une stratégie d’automédication d’un trouble non diagnostiqué, comme une ressource pour favoriser l’adaptation aux exigences inaccessibles de l’environnement académique ou professionnel et comme un moyen de concilier études, travail et vie sociale
Midi-conférence de l'ISS du 20 janvier. Période de discussion.
Johanne Collin, professeure titulaire à la Faculté de pharmacie,
Université de Montréal.
Jean-Sébastien Fallu, professeur à l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal et directeur de la revue Drogues, santé et société
Christine Thoër, professeure au Département de communication sociale et publique et directrice de ComSanté, Université du Québec à Montréal.