Événements
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Sciences humaines
7e congrès de l'AIFRIS: Solidarités en questions et en actes : quelles recompositions?
Marc Maesschalck, professeur de philosophie, Université catholique de Louvain, Belgique.
Sciences humaines
7e congrès de l'AIFRIS: Solidarités en questions et en actes : quelles recompositions?
Marie-Hélène Panisset, Action-Autonomie, Québec.
Sciences humaines
7e congrès de l'AIFRIS: Solidarités en questions et en actes : quelles recompositions?
- Sylvain Lefèvre, professeur, École des sciences de la gestion, PhiLab, UQÀM
- Marie-Chantal Locas, agente d'analyse, de liaison et de formation, Regroupement des organismes communautaires de Montréal (RIOCM)
- Jean-Marc Chouinard, président de la Fondation Lucie et André Chagnon, Québec
- Sylvie Wampfler, psychomotricienne et chargée de cours, Haute école de travail social de Genève, Suisse.
Sciences humaines
7e congrès de l'AIFRIS: Solidarités en questions et en actes : quelles recompositions?
Témoins : François Gaspar, Conseil scientifique permanent de l'AIFRIS (CSP), et Susan Cadell, Association canadienne pour la formation en travail social (ACFTS).
Sciences humaines
7e congrès de l'AIFRIS: Solidarités en questions et en actes : quelles recompositions?
- Joëlle Libois, présidente de l'AIFRIS (directrice, Haute école de travail social de Genève, Suisse)
- Michel Parazelli, président du Comité d'organisation du 7e congrès de l'AIFRIS, (professeur-chercheur, École de travail social, UQÀM)
- Annie Fontaine, coordonnatrice scientifique pour le 7e congrès de l'AIFRIS (professeure-cheucheure, École de travail social, Université Laval, Québec)
- Maryse Tannous Jomaa, directrice, École libanaise de formation sociale, Université St-Joseph de Beyrouth, Liban.
Arts
Audio seulement
Dans cette troisième partie de l'entretien, Jean Fisette poursuit la présentation de l’hypoicône, en s'intéressant à la notion de diagramme et, plus spécifiquement, au signe musical qui offre un exemple concret d'indétermination du signe dans la création. Il clôt l’entretien en évoquant un de ses articles sur la photographie qui synthétise sa compréhension de l’hypoicône peircienne. L'entretien est animé par Sylvano Santini.
Jean Fisette a enseigné au Département d'études littéraires de l'UQAM jusqu'en 2004. Plusieurs des articles et travaux dont il est question dans l'entretien sont disponibles sur son site internet http://www.jeanfisette.net.
L'entretien a été réalisé par Sylvano Santini en août 2017.
Arts
Audio seulement
Dans cette première partie de l'entretien, Jean Fisette relate son parcours de professeur et chercheur en sémiotique depuis son arrivée au Département d’études littéraires de l’UQAM en 1975. À cette occasion, il présente les débuts du programme de doctorat en sémiologie de l’UQAM et expose son tournant peircien, son attachement aux automatistes et son amour de la musique.
Jean Fisette a enseigné au département d'études littéraires de l'UQAM jusqu'en 2004. Plusieurs des articles et travaux dont il est question dans l'entretien sont disponibles sur son site internet : http://www.jeanfisette.net.
L'entretien a été réalisé par Sylvano Santini en août 2017.
Arts
Audio seulement
Dans la deuxième partie de l’entretien, Jean Fisette présente sa critique de la conception du signe linguistique avant aborder le modèle sémiotique de Peirce. Il s’intéresse particulièrement à l’hypoicône peircienne qu’il expose en évoquant de célèbres photographies de presse.
Jean Fisette a enseigné au Département d'études littéraires de l'UQAM jusqu'en 2004. Plusieurs des articles et travaux dont il est question dans l'entretien sont disponibles sur son site internet : http://www.jeanfisette.net.
L'entretien a été réalisé par Sylvano Santini en août 2017.
Environnement
Damon Matthews Ph.D., professeur et titulaire de la chaire de recherche de l’Université Concordia en climatologie et en durabilité.
Pierre Langlois, Ph.D. physicien, consultant, auteur et conférencier. Carole Dupuis, coordonnatrice générale et porte-parole du Regroupement vigilance hydrocarbures Québec
Le gouvernement Couillard place le gaz naturel au cœur de sa politique énergétique en affirmant que ce combustible est l’énergie de transition qui permettra au Québec de réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Il utilise le Fonds vert pour subventionner l’expansion du réseau de Gaz Métro ainsi que la conversion au gaz naturel de camions et même de navires-citernes servant à transporter du pétrole. Il pilote l’implantation de stations multicarburants et finance l’exploration de gisements de gaz naturel en Gaspésie.
Le gaz naturel aidera-t-il vraiment le Québec à atteindre ses cibles de lutte au réchauffement climatique?
Cette filière amplifiera-t-elle au contraire le problème qu’on souhaite résoudre? Les réponses à ces questions dépendent-elles du type de gaz qui serait utilisé - conventionnel, de schiste ou biogaz?
Y a-t-il d’autres solutions pour réaliser l’urgente transition énergétique?
Environnement
Télécharger le diaporama : https://goo.gl/vBw5we
Yann Chavaillaz, Ph. D. en sciences du climat, Université Paris-Saclay Postdoctorant chez Ouranos et au Laboratoire de climatologie de l’Université Concordia
Pierre Langlois, Ph. D. en physique, Université Laval Spécialiste de la mobilité durable et vulgarisateur scientifique
Le gouvernement Couillard place le gaz naturel au cœur de sa politique énergétique en affirmant que ce combustible est l’énergie de transition qui permettra au Québec de réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Il utilise le Fonds vert pour subventionner l’expansion du réseau de Gaz Métro ainsi que la conversion au gaz naturel de camions et même de navires-citernes servant à transporter du pétrole. Il pilote l’implantation de stations multicarburants et finance l’exploration de gisements de gaz naturel en Gaspésie.
Le gaz naturel aidera-t-il vraiment le Québec à atteindre ses cibles de lutte au réchauffement climatique?
Cette filière amplifiera-t-elle au contraire le problème qu’on souhaite résoudre? Les réponses à ces questions dépendent-elles du type de gaz qui serait utilisé - conventionnel, de schiste ou biogaz?
Y a-t-il d’autres solutions pour réaliser l’urgente transition énergétique?
